Programme par jour > Mardi 2 juillet (Campus Saint-Jean d'Angély)
08h30-10h30
A1 - Adoption en Afrique -Salle.0202
A2 - Afterlife of anthropological fieldwork: nostalgia in crisis contexts - Salle.0203
A21 - Les nourritures de l’Afrique de l’Ouest aux prismes des défis écologiques et de l’affirmation d’une identité culturelle - Salle.0206
A6 - Contemporary African Historical Fiction in English: ”Contested Pasts” and ”Potential History” Salle.0211
A7 - Dakar, ville refuge (1960-1990) - Salle.0212
10h30-12h30 A27 - Pour une histoire économique et fiscale de l’Afrique subsaharienne précontemporaine - part 1 - Salle.0202
A8 - Déviance et marginalité dans les phénomènes sorcellaires, pratiques religieuses et itinéraires thérapeutiques. Herméneutique du corps et des discours - Salle.0203
A25 (1) - Politiques publiques du religieux et logiques d’ancrage en Afrique de l’Ouest et ailleurs : une approche comparative - Salle.0211
A16 - La société civile, ou le ”cinquième pouvoir” de la géopolitique africaine, Ondo - Salle.0212
Présentations d'ouvrages et numéros de revues (Avant-Scène)
11h-11h30 Sophie Bava et Malik Nejmi pour l'ouvrage Dieu va ouvrir la mer , IRD Éditions, 2022.
11h30 -12h Tumultes, numéro thématique « L’impensé colonial des sciences sociales », n°58-59, Éditions Kimé, 2022. En présence de Sonia Dayan-Herzbrun fondatrice et co-directrice de la revue. https://www-cairn-info.inshs.bib.cnrs.fr/revue-tumultes-2022-1.htm
12h30-13h Cahiers d'Études africaines, numéro thématique « Les équivoques de la dissuasion à la migration », LXIV (2), 254, 2024, 248 pages. En présence de Camille Cassarini (co-coordinateur du numéro).
13h-13h30 Cahiers d'Études africaines, numéro thématique « Retours de restitutions », LXIII (3-4), 251-252, 2023, 656 pages. En présence d'Anne Doquet (co-coordinatrice du numéro) et des autrices : Giulia Bonacci, Annelie Delescluse et Julie Peghini. https://journals.openedition.org/etudesafricaines/44933
13h30-14h00 Global Africa, numéro thématique « Afriques, mondes et savoirs de demain », n°1, 2022, 168 pages. En présence de Mahman Tidjani Alou (membre du comité de pilotage).
Projection et discussions 14h00- 15h30 (amphithéâtre)
‘Ganbanaaxun Fedde: un réseau transnational de lutte contre l’esclavage’ de Lotte Pelckmans, University of Copenhagen, Centre for Advanced Migration Studies (AMIS) Discussion : Ibrahima Thioub, Historien, Université Cheikh Anta Diop (Dakar)
‘Ganbanaaxun Fedde: un réseau transnationale de lutte contre l’esclavage’ (36min), qui fait le lien entre un mouvement social transnational qui lutte contre les héritages de l'esclavage africain interne et les déplacements ruraux contemporains au Mali.
14h00-16h00 A28 - Pour une histoire économique et fiscale de l’Afrique subsaharienne précontemporaine - part 2 - Salle.0202
A29 - Regards croisés sur le Recadère de Behanzin (Dahomey, 1917) et sur une presse africaine contestataire - S.0203
A24 - Poets of Panglobal Pluridentities: African-Diasporic Writers in Austria and Spain - Salle.0206
A25 (2) - Politiques publiques du religieux et logiques d’ancrage en Afrique de l’Ouest et ailleurs : une approche comparative-part 2 - Salle.0211
A37 - Une course aux ports en Afrique ? Acteurs, territoires et stratégies - Salle.0212
16h30-18h30 Table-ronde " Visas et terrains empêchés : comment agir? " - (Amphithéâtre) Cette table-ronde s’inscrit dans la suite de la tribune portée par les différents GIS du CNRS et de différentes initiatives de plaidoyer, dans un contexte marqué par des difficultés grandissantes, voire des pratiques arbitraires, dans la délivrance des visas pour nos collègues et étudiants du continent africain. La privatisation de l’accès aux consulats pour la prise de rendez-vous, l’inflation des documents demandés allant parfois au-delà des exigences règlementaires constituent un coût temporel, humain et financier qui met en péril les partenariats scientifiques existants et la construction de nouvelles formes de collaboration, ainsi que la volonté de « rayonnement international » portée pourtant par les institutions universitaires et de recherche et le Ministère de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche.
Dans le prolongement de la question de l’accès aux visas, se pose plus globalement la question de la circulation des chercheur·ses et étudiant·es qui reste marquée par des différenciations, des inégalités non seulement entre Europe et Afrique mais aussi à l’intérieur du continent africain. Ainsi, la notion de « terrains empêchés » utilisés en Europe pour désigner des espaces devenus inaccessibles pour les chercheur·ses occidentaux, soit en raison des contextes sécuritaires, soit sur « coloriage » du MEAE (ou sur décision des FSD des institutions universitaires et de recherche), pourrait être élargie. En effet, l’accès des chercheur·ses africains à des terrains européens par exemple, reste souvent inaccessible faute de financement et/ou d’outils d’appui à la mobilité et au partenariat adéquats. Dans la continuité, des formes de « sous-traitance » de terrains de recherche peuvent se développer dans des contextes où les chercheur·es occidentaux n’ont plus d’accès directs. Ces différentes situations qui s’articulent à la réflexion sur les terrains empêchés et les inégalités de circulation interrogent les modalités de collaborations et de partenariats entre les continents.
Ainsi l’objectif de cette table-ronde est d’ouvrir le débat sur les circulations des chercheur·es et étudiant·es, mais aussi des acteurs culturels, de la société civile du continent africain, qui font tous face aux mêmes difficultés. Quelles sont les pratiques, formelles ou informelles, des différents acteurs et institutions pour face aux contraintes imposées aux circulations ? Comment construire des convergences dans les modes de plaidoyer et d’actions, sans se restreindre à des corps de métiers spécifiques ? Comment construire des modes de collaboration équitable entre acteurs et institutions ?
Intervenant·es
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